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" parce que la nuit est courte & le bonheur instable "

31 décembre 2008

whitout me

regarder le temps foutre le camps, en se disant que c'était mieux avant. on attend un morceau de bravoure, sous-entendu, moi j'suis capable de ça, mais non mesdames messieurs, le rideaux va tomber, lourd et toujours aussi rouge, mais rien, rien n'aura changé, soyez en sûr ! vous vous perdez à espérer. vos estomacs noués, eux, ne mentent pas, la vérité vous reste en travers de la gorge. on attend, on épie, immobiles, presque inconscients, le corps frémit et l'esprit vacille. mais ce sera sans moi. je me planque, je m'enterre, je crois que c'est ce que j'ai de mieux à faire.
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11 mai 2008

De l'ordre de l'acharnement thérapeutique...

Pourquoi j'en reviens toujours à ce terrible constat. Cette ville de merde où on dépérit et ma solitude dans laquelle je me noie. Mes espoirs qui se cassent la gueule. Et mes défonces secrètes, loin de vos soupçons. Mon "Bad Mood" que je camoufle. Entre la honte et la résignation. Dans l'état dans lequel je suis, vaut mieux que je reste ici. Je suis sûre qu'il y a une issue même si je ne l'entrevois pas pour l'instant. Je suppose qu'il vaut mieux que je sois en sécurité ici plutôt que de repartir avec le 1er connard de boîte venu... Si seulement je pouvais entrevoir la fin du tunnel... C'est interminable ! Clo est partie dormir, ni Arthur, ni Adrien, ni Sofiane ne me répondent. Ptl n'a plus de batteries. Je sais pas comment je fais pour supporter ce silence cataclysmique ?! J'ai eu la stupidité pendant un moment de croire que j'avais un espoir de te plaire. Mais faut croire que j'ai fait erreur sur toute la ligne ! L'alcool et la drogue ne sont jamais assez forts pour apaiser mes angoisses ! Personne ne le peut, ni ne le veut apparemment ! Mes carnets secrets. Mes pensées délabrées. Le ciel qui s'obscurcit... Oui il est beau, terriblement beau ! Condamnée à déblatérer ces conneries indéfiniment sans que personne ne les lisent jamais. C'était tellement exitant les tout débuts quand je t'ai rencontré. Ca me manque tellement cette folie incontrôlable et cette sensation que rien ne pouvait nous atteindre, que nous survolions le monde sans la moindre conséquence ! Le temps a malheureusement passé, et plus rien n'est comme avant. Irrémédiablement. Contrainte a m'épancher inutilement sur ces pages stériles comme si mon salut en dépendait. Trop conne ! J'aimerais bien respirer à plein poumons mais ça demande trop d'efforts. COLD WAR KIDS. Ca faisait longtemps que je ne m'étais pas sentie aussi mal ! Et pourtant totalement vide de larmes. Vous jouez avec mes NERFS. A moitié envie de gerber, j'aurais pas du engloutir toutes les pâtes que tu m'as cuisiné mon Titou. J'AI FURIEUSEMENT ENVIE DE T'ENVOYER CHIER LE WEEK END PROCHAIN, PAR PRINCIPE ! Tachichardie de merde. VOUS me manquez ! A défaut de m'aimer, vous m'avez faite telle que je suis. Si fragile et si forte à la fois. Si sensible et si blindée à vos coups bas. Bassesses d'homme... La tête ne me tourne même pas, je désespère ! Je ne pensais pas me retrouver à nouveau dans cette situation scabreuse de la pauvre meuf abandonnée... faut croire que l'on n'échappe pas à sa nature profonde. Qu'est ce que je vais penser de tout ça quand je vais relire demain ?? Stupidités... Le tête à tête est douloureux. Eprouvant tout du moins. C'est dur de s'avouer vaincue ! A la limite de tout gerber, et personne pour se douter de ça ! Personne pour envisager le désespoir dans lequel je m'enterre ! Mon cher carnet, unique et stupide confident. Tu recèles mes hontes et mes faiblesses. Personne pour envisager de telles horreures de ma part. Je donnerais n'importe quoi pour un signe de l'un d'entre vous. Pour juste sentir qqn qui pense à moi. Tu rêves trop petite ! LAST DAY OF MAGIC. Samedi dernier cette ballade ensoleillée en ton évanescente compagnie, puis cette dernière nuit irréelle avec Théo, nos mains qui se trouvent sans se chercher, comme autrefois, et moi qui te regarde dormir, en pleurant, te caressant ton "trou du Vietnam", me refusant à dormir, de peur que tu partes pendant mon sommeil. J'ai renoncé à ma plume, à mon combat futile avec les mots, au profit de cette autobiographie éthérée de toute manière, je me vide chaque jour un peu plus de ma verve, que mes absences de lectures, font peu à peu dépérir.
11 mai 2008

Les yeux qui brûlent, atrocement...

Jamais la solitude ne s'est fait aussi pesante et sourde douleur Le nez qui saigne Et l'horreur de me croiser dans la glace Ecrire sans fin J'aimerais bien pleurer mais ce n'est déjà plus à ma portée Si seulement j'étais capable Capable de magnifier cette ignominie De rendre bandante ma décrépitude De la vendre De m'engraisser sur le dos de leur connerie voyeuriste Mais non je suis juste bonne à me plaindre, geindre, et dégueuler du médiocre J'aimerais me faire mal Mais je sais que c'est vain Car aucune entaille dans la chaire ne pourrait égaler la honte qui me bouffe de l'intérieur Cette coke est tellement ignoble qu'elle me donne envie de gerber dès que je tape Rien n'y fait RIEN Ni toi, ni moi, ni tes "je t aime" si lointains, ni tes appels RIEN "Elle" n'est plus, et jamais je n'arriverais à retrouver cette exigence du verbe Je me déçois tellement Mon rêve absurde d'écrire, de décrire, cette vie incohérente et pourtant si vraie, que j'ai endurée Je compte sur toi mon ange pour écrire ma biographie quand je serais crevée la gueule ouverte, sourire aux lèvres Amputée de celle que j'étais Amputée de ma folie Je vagabonde, orpheline Sans but, ni raison Toujours trop lucide, quelle sale malédiction Pétrifiée, et personne pour me tirer de là !
11 mai 2008

Petite Pute...

Supplice immonde que de taper cet ersatz de coke industrielle coupée 25 000 fois Me plaindre encore et toujours Last day of Magic Les soupirs éteints d'un amant bien loin d'ici D'un homme que j'aurais aimer Si l'on m'en avait laisser la possibilité Est ce que tout se résume à ce whisky qui me pique la trachée Et cette fée blanche de seconde zone qui m'arrache les narines ? Est ce que tout commence et finis dans les méandres de mes frustrations ? Amours insatisfaits et solitude pourrie ? Sauver le monde est au dessus de mes moyens M'ériger en modèle, vous convaincre d'un avenir meilleur Tout en m'afaissant en moi même loin des regards J'ai suffisamment raqué pour avoir le droit de flancher Ait suffisamment assumé mon rôle de muse bancale Pour m'offrir le privilège de craquer bien loin de vos yeux soupçonneux Etre forte et la fermer, je n'en n'ai plus la trempe Tu te trompes à mon compte Misérable catin ni plus ni moins On finit tous en cendres quoi qu'il advienne Black Balloon J'aimerais bien faire gicler le sang crade Mais en ces chaudes journées d'été Rares sont les cm2 de peau qui ne leur sont pas exposés Je m'écorcherais bien les mains contre les murs mais je dois garder mes minimes intactes pour dessiner des conneries pour leur concours de merde Et je ferais quoi quand le whisky sera finit ?? Une demie bouteille à moi toute seule et même pas l'aube d'un étourdissement Ma résistance me coûte chère Plus une goutte Elle joue, comme si cette réalité imaginaire était apte à effacer ses traumatismes J'aimerais bien m'immerger dans ce mensonge au point d'en oublier mes blessures purulentes Mais rien n'y fait Seule face à un écran blanc Vierge de toute présence Perdue dans l'immensité lactée Terriblement virtuelle Mon corps qui aimerait sentir tes doigts courir sur mon dos Mais rien n'y fait Tu es là bas... Je me suis maquillée, on se demande bien pourquoi ! Une demie bouteille de whisky engloutie Et pas l'ombre d'une perte de contrôle Triste constat Tout ça semble bien inutile ! Me déchirer, m'abîmer, me torturer; Sans que tu en soupçonnes l'existence Et quand j'aurais tout finis, quelle issue ? Je ne suis pas triste, juste morne, légèrement abattue, l'oeil fade, vidé de toute désillusion J'espère idiotement que la nuit me prodigue quelque éclair de génie semblable à cet enthousiasme qui m'habita autrefois quand j'écrivis "Elle" mais cette époque est bien révolue ! Ma verve acerbe s'est dissolue dans l'ivresse inutile de ces nuits identiques Je me suis perdue en chemin L'éclat de mes mots, et leur violence à peine masquée, s'est voilée et ternie Je coure après des fantômes Personne pour m'épauler dans cette nuit de décrépitude Personne pour constater mon coeur stupidement offert à vos méfaits à fleur de ma peau laiteuse Diaphane... Mon visage qui s'efface derrière votre danse macabre
11 mai 2008

Crier au massacre...

Je pourrais crier à l'ignominie et espérer que tu poses les yeux sur moi mais la coke a remplacé vos ombres fugitives le whisky descend trop vite et mes mains molles peinent à gerber leur lot d'horreurs le temps s'évanouit beaucoup trop lentement je rêve de ces nuits enfumées de ces corps à corps désespérés de tout ce passé qu'on a trop remué des fleurs fanées et de nos déceptions vite fait ravalées une gloire pas méritée des gestes enfouis dans des souvenirs poussiéreux l'espoir d'une issue favorable qui s'épuise mes cheveux doux et aucun doigts pour les goûter juste une musique qui s'acharne et mes yeux embués incapable de gerber la moindre larme on traîne la déception à nos basques comme certain traîne la mort à leur veine et de m'enfourner cette ignoble coke dans le nez à grimacer ce goût dégueulasse qui me tord la gueule j'aurais bien voulu te satisfaire nourrir tes yeux d'une belle prose savante et maniérée mais je ne suis apte qu'a dégueuler de l'absurde par tous les pores de ma peau les insectes qui se heurtent à l'écran sans relâche j'aurais aimé lui plaire j'aurais aimé éclipser toutes les autres à ces yeux j'aurais aimé l'émouvoir l'intéresser, lui faire tourner la tête mais à la place de ça c'est moi qui ait envie de me frapper la tête contre les murs ne pouvant me permettre de me péter à nouveau la main droite à l'aube du concours des arts déco condamnée à la bienséance je me débecte il fut un temps où j'étais plus téméraire temps révolu il semble la masse cette foutue masse qui m'absorbe à contre coeur
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10 mai 2008

Je serais spirituelle un autre jour...

On n'est pas pressée quand on n'a nul part où aller. Les yeux un peu éteints, avalant les néons à perte de vue. Le vent qui s'empare de ton corps et t'irrite les nerfs. De la colère contenue, la plus dangereuse qui soit. Glaciale, et pourtant si banale en apparence, on se retourne même sur mon cul dans ce short ridicule. Le dégoût fixé au corps comme l'héro dans sa veine. Parti avec ces petites putes mal léchées, il était sensé m'appeler, on te refile un espoir salace pour être bien sûr du bien fondé de ton désespoir. Du whisky chaud dans du coca sans bulle, et la camée en manque qui veut sa came pour ensevelir sa colère sans raison ni but. Ensevelir. Comme un cadavre. Elle s'est rêvée en salope suprême, sulfureuse et glacial, suçant vos bites sans que jamais vous puissiez atteindre son coeur. Elle s'était faite une belle image, du genre qu'on refile en point de bonne conduite, de la salope en règle, intouchable et bandante; du genre héroïne des temps modernes. Mais tout ça c'était forcément un piège à cons, derrière le fond teint bon marché, y avait des larmes, de la cyprine et du sang. Le sang d'un foetus vivant. Le sang souillé de ce monde délabré, qui giclait à chaque lacération au scalpel qu'elle s'infligeait. Elle était belle, en tout cas elle le fut un temps. Avant justement que le temps et le sperme ne lui ronge le visage. Bien sûr que je la connais, je l'aime même pour tout avouer. La petite Judith aux rêves éventrés, qui a vainement cru que le pêché originel qui l'a bafoué l'immuniserait contre ces sentiments méprisables que nos tortionnaires déclenchent en nous. Douce utopie. Elle a bien vite compris. On n'est jamais à l'abris. Des orifices et de la sueur. De la haine au creux des reins et pas d'autres issues que de se mettre à quatre pattes. Il y a cette noirceur qui pourrit chacune de mes envies. Y a quelque chose de faussement héroïque dans mes aboiements désespérés. Comme une évidence. Flagrante même. Répétitions et conneries en tout genre. Où est donc née toute cette violence ? Y a des êtres doués de conscience moi je suis douée de violence. Une violence âpre, lancinante, qui surgit sans prévenir en une gifle cinglante. Tu pues le fake, tu pues le sexe ! Quand est ce que tu t'es sentie réellement vivante pour la dernière fois ? Oui réfléchis bien.
16 avril 2008

Sans titre/Inepte

Un silence. Comme une respiration. Enfin. Je cherche mon ombre dans la glace. Lettre à un inconnu. Des voix, des mensonges. Quelqu'un ? Dissipes mes angoisses. Oh toi ! L'écueil inévitable de l'absence. Ca me taraude. Une nuit dans l'eau. Des doutes et des poussières.. Mains liées. Y croire. Décontenancée; comme une petite fille. Pudeur surprise. Au ras du sol. Et cette intimité intimidante. Violence ! Ces autres. Puis Adolphe, puis rien. Mais sans ça... Nul autre. Quelques cheveux dans le cou; une accélération, suspendue à sa propre chute... relative. Des solutions. Caresses, oh oui, caresses; théâtre de nos décrépitudes. Mes mots dissous dans l'absurde. Et les maux ? Qui me les ôte ? Lis ! Lis, je t'en prie. Découvre moi. Oh oui dé-couvre. S'il te plait.
8 avril 2008

l'utopie d'une nouvelle vie à chaque coin de rue...

la page blanche à nouveau...
29 mars 2008

Que demande le peuple ?

Une nuit comme toutes les autres. Un crépuscule solitaire que l'on emprisonne en soit, une sorte de trésor dont au final personne ne veut partager le secret. Des lumières éteintes qui s'abattent sur la ville, des lueurs hésitantes comme autant de promesses falsifiées qui vacillent dans un horizon inaccessible. On feint d'avoir choisis ce recueillement quasi monacal, de peur d'avouer le fardeau de cette solitude si pesante. On s'étend sur les bienfaits de l'isolement, on disserte sur la connaissance de soit, afin de dissimuler tant bien que mal l'errance qui nous tenaille le corps. On s'étourdit, on se noie, tranquillement, sans conséquence. Le temps s'écoule pépère, et les choses tournent à l'imparfait, juste le temps de piquer un somme et on passe à autre chose... Combien de grammes de cocaïne me faudrait il pour pondre une ligne acceptable ? Je me rappelle de cette fougue indomptable qui crachait du mot à plus pouvoir Avoir raison, maîtriser, dompter, mater, n'y a t'il que ça qui me motive, manipuler comme on a pu le faire avec moi, et les broyer dans le mécanisme qui m'a tantôt tué ? Je me rappelle son regard admiratif, et bercé d'espoirs idiots, je me rappelle de lui qui croyait en moi à cette époque là... Et ce flot de paroles ininterrompus, n'acceptant ni la ponctuation, ni quelconque ralentissement. Cette langue indomptable, sauvage et crue, qui crachait toute sa haine à qui voulait bien la lire.... Tête à tête morbide pas de glace pour fixer mon image dissonante pas de témoin pour rapporter mon désespoir à la foule pas d'issue pour espérer quelque rédemption juste ce ventre saisi de contractions suspectes et cette respiration si laborieuse le temps en s'écoulant atténue chaque seconde un peu plus les effets de l'alcool et la lucidité souveraine reprend son droit les yeux brûlent et les poignets faiblissent arasés par cette lenteur contre nature la ponctuation tente en vain de s'imposer mais je tiens bon c'est plus ce que c'était sérieux si seulement je pouvais planer comme avant mais malheureusement me péter le zen ne servirait à rien au final je peinerais toujours autant à débiter ces conneries mais tu le sais déjà j'ai mal au nez et les frissons qui me bouffent les guiboles t'as beau aspirer rien ne passent dans ces narines saturées t'aimerais y croire mais tu sais déjà que tout ça n'est qu'un jeu perfide qui ne mênera à strictement rien comme d'habitude t'aimerais partir faire tes valises à nouveau et te faire la malle pour de bon mais t'as pas les couilles de foirer ta vie pour assumer tes convictions au final t'es qu'une putin de mauviette et tu le sais que trop bien c'est pour ça que tu te démontes le crâne à plus pouvoir pour tenter d'évacuer de ta cervelle la condition misérable qui t'habite trois clopes pour combler le vide sidérale de ta misérable vie tu penses réellement que ça va suffire pauvre idiote ça claque des doigts quelque part loin d'ici ça chante le désespoir haut et fort mais toi tu prends pas part à ça tu essaies tant bien que mal que garder les mains propres dans l'histoire pauvre folle on te plaint mais t'es trop bigleuse pour t'en rendre compte pauvre folle la vie te glisse entre les doigts et toi tu laisses faire même que t'en redemande ma salope du foutre dans ta gueule et de l'humiliation plein la bouche c'est ton crédo ça du désespoir de petit envergure du lamentable dans la limite du raisonnable tu voudrais retaper cash mais tu te dis que les vaisseaux vont pas tarder à péter d'ailleurs t'as pas tord mais tout ça tu l'ignores pour t'offrir ton rêve de nowhere land ça te ronge le coeur mais t'en fait ton affaire une fois de plus une fois de trop qui sait the good ones y aura toujours des fantômes pour rôder autour de ta couche petite catin y aura toujours ces bites turgescentes qui t'aspergent le peu de dignité qui te reste y aura toujours cette quête illusoire d'amour pour te pourrir jusqu'aux os dans ta tombe et ces amoureux transis pour te prouver que t'es vraiment qu'une pauvre merde une râtée en bonnet du forme à part ça rien rien de plus que quelque crache dégueulasse au détour d'une rue glauque que l'on fantasme tant bien que mal le temps passe jamais assez vite pour ceux qui le perde je pourrais bien taper jusqu'à ce que tout s'écroule je pourrais bien dépérir jusqu'à ce que tu regrettes de ne l'avoir pas remarqué the hook and line rien n'y fait ni l'alcool ni la dope ni l'espoir si ces conneries ni tes promesses ni tes mensonges demain ne sera qu'un jour hypothétique jamais tu liras ça jamais je te dis avorté avant naissance comme cet autre saloperie de lion à la con personne pour saisir un traître mot de mes divagations avale avale je te dis avale encore avale encore plus avale toujours plus black baloon j'aime ton absence de réponse j'aime quand tu résistes alors que tu es déjà vaincu j'ai une peluche qui s'appelle lamartine et la scarification de mon premier amour sur le sein gauche juste au dessus du coeur je suis folle mais ça me conviens parfaitement un seul être vous manque et tout est dépeuplé les machoires qui serrent les machoires qui broient dans le vide absolu je m'alourdis avec le temps je m'appesantis rien n'y fait je suis définitivement morte dans l'oeuf tout espoir est vain condamnée à errer en enfer pour l'éternité supplice nocturne évasion ratée suicide inutile occasion loupée clope consumée occasion loupée another one t'oublie tu t'oublie dans les chiottes tu perds pied pauvre meuf et on peut rien y faire tendresse mon cul on va se bouffer le cerveau a coup de domination subtile et sans raison se détruire à petit feu burning this house plus que deux clopes des lumières inutiles au loin qui éclaire le néant pour les pauvres indigents qui erre tendrement justement falsification à la con je ne crois pas à tes subterfuges stupides .
29 mars 2008

Mais tu le sais déjà...

que je n'ai rien à foutre là à part jeter un glaviot de plus dans ce marais putride rien ne justifie ma présence en ces terres arides et leurs claquements de portes n'y changeront rien 03h03 fait un voeux sale idiote croie y si ça peut refaire ta vie pourrie
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" parce que la nuit est courte & le bonheur instable "
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